Depuis décembre 2019, un nouveau virus de la famille des SARS a fait son apparition en Chine et y a produit une épidémie qui s'est rapidement étendue au reste de la planète sous forme d'une pandémie. On parle désormais de la pandémie liée au COVID-19 (nom de la maladie) ou du SARS-CoV-2 (nom du virus) qui touche la planète entière.
Qu'est-ce que ce virus ?
Le coronavirus est un virus d'origine animale (pangolins et chauves-souris) qui a également une prédilection particulière pour les tissus pulmonaires humains et plus particulièrement certaines cellules appelées 'pneumocytes'. Le contact du virus avec le tissu pulmonaire chez l'homme entraîne une réaction inflammatoire avec hyperplasie et surproduction de mucus. Du fait de cette infection, une pneumonie interstitielle (parfois bilatérale) se développe qui peut dans certains cas évoluer vers une forme plus sévère appelée syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS en anglais).
Il est donc important de pouvoir disposer de nouveau produits ou techniques permettant de stopper rapidement une telle hémaorragie. C'est justement ce que viennent de faire deux équipes américaines, l'une de l'Université du Texas en association avec le MIT et Harvard, l'autre de New York.
Le principe est assez simple, développer une nouvelle substance qui va se solidifier très rapidement au sein du tissu lésionnel et favoriser non seulement la coagulation mais également entraîner les premières étapes
"Internet of Things, outils connectés, santé en ligne", voilà quelques synonymes qui annoncent la révolution technologique en cours qui va impacter notre vie quotidienne et surtout notre santé dans un futur très proche.
Et quand on dit très proche, c'est vraiment déjà demain. Ce mouvement commence à apparaître depuis quelques années avec l'apparition des 'trackers', ces outils que l'on se met sur le corps pour enregistrer nos prouesses physiques, notre fréquence cardiaque, notre niveau de transpiration, notre humeur, notre qualité de sommeil.
Demain, avec de nouveaux outils, ce sera le risque de mort subite qui pourra être évité avec par exemple le système Mimo, ce seront des
Après quelques mois d'absence essentiellement pour cause d'un autre projet (certains sauront de quoi il est question), voici un post qui ne laissera pas indifférent certains d'entre vous !
Quel enfant ou étudiant n'a jamais eu envie d'apprendre bien et rapidement ? Surtout pour des tâches réputées compliquées et difficiles comme les mathématiques. Et bien, cette tâche 'insurmontable' pourrait bien être refourguée dans les annales.
En effet, une équipe de scientifiques anglais de l'université d'Oxford (Kadosh et al.) vient de publier les premiers résultats concernant une nouvelle technique de stimulation du cerveau appelée TRNS (pour Transcranial random noise stimulation). Les experts ne savent par vraiment quel est le mécanisme sous-jacent précis mais pensent que cette technique pourrait réguler la communication interneuronale qui deviendrait de ce fait plus homogène et synchrone.
Les
Un des gros problèmes dans la prise en charge des traumatismes crâniens est justement de pouvoir anticiper la survenue éventuelle de complications intra-crâniennes telles qu'un saignement ou le développement d'un hématome extra-dural ou autre type de saignement intra-crânien.
Souvent, on doit se référer à une stricte surveillance neurologique et un examen clinique répétitif pour confirmer une éventuelle détérioration des fonctions cognitives ou du comportement du patient. Et si le doute clinique se confirme, toute minute est comptée et il ne faut pas tarder pour réaliser en urgence un scanner cérébral qui confirmera ou non, l'hypothèse diagnostique.
Cette approche pourrait très bien changer à très court terme puisque la compagnie américaine Infrascan vient
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Medfut - La découverte scientifique au service du futur de la médecine, par Erard le Beau de Hemricourt